Cette fois, monsieur le président, vous n'y aurez pas droit. (« Oh ! » sur les bancs du groupe UMP.) Mais je recommencerai dès ce soir !
Je serai brève.
Bernard Lesterlin a raison : nous sommes dans une situation de blocage. Vous avez compris ce matin comment il était possible de débloquer la situation. Pourtant, cet après-midi, vous refusez tout : le passage en commission et même la discussion. Vous refusez de prévenir les présidents de groupe qui, au fond, auraient fait le travail de sous-amendement que nous sommes en train de faire. Nous aurions ainsi gagné du temps et du papier.
Nous regrettons que vous bloquiez le débat, car c'est bien vous qui faites du blocage, pas nous. Pour notre part, nous ne souhaitons qu'avancer. C'est pourquoi je vous demande d'accepter ces sous-amendements à l'amendement n° 2 .