J'en sais quelque chose et n'en suis pas particulièrement fier, mon cher collègue !
Était-il vraiment opportun que plus d'une dizaine d'entretiens aient été accordés à ce personnage par l'actuel Président de la République ou ses collaborateurs afin de déterminer et la procédure particulière dont il a bénéficié, et le montant du préjudice, les fameux 45 millions d'euros ? Rien de tout cela n'était évidemment obligatoire. Peut-être un jour connaîtrons-nous la vérité. Il suffirait, mes chers collègues, que vous votiez la résolution demandant une commission d'enquête parlementaire pour qu'on sache pourquoi il a été décidé, par les plus hautes autorités de l'État, qu'une fois ses dettes remboursées, ce personnage se trouverait à la tête d'un patrimoine de 120 à 130 millions d'euros.