…veut que la prise en charge des malades atteints d'une affection de longue durée soit garantie à 100 % par la solidarité nationale, aussi bien pour les traitements de la maladie elle-même que pour ceux qui sont dits de confort. D'ailleurs, je n'accepte pas ce terme de « confort » car, pour ces malades atteints d'affections graves, il s'agit de médicaments indispensables – comme les anti-nauséeux, les anti-diarrhéiques, les laxatifs, les anti-spasmodiques – et qui permettent de compenser les effets secondaires du traitement. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)