Madame la présidente, madame la ministre, nous venons d'écouter Michel Herbillon : s'il avait été une femme, on aurait cru entendre la comtesse de Ségur, dans la Bibliothèque rose !
N'oubliez pas, monsieur Herbillon, que si la réforme constitutionnelle a été votée, vous le devez à une trahison, puisqu'il s'en est fallu d'une voix, et c'est cette voix que l'histoire retiendra : celle d'un joueur qui a marqué contre son camp !
Je soutiens la dernière motion de procédure de ce débat, qui vous offre la possibilité d'un dernier sursaut pour renvoyer ce texte en commission.