Monsieur Eckert, je vous présente mes excuses. J'ignorais totalement que ce lien figurait sur le site de l'Assemblée nationale. Vous m'en avez apporté la preuve. Je vérifierai moi-même sur l'écran de mon ordinateur et je demanderai des explications, car, ainsi que vous l'avez dit, cela s'est fait « à l'insu de mon plein gré ».