J'ai indiqué que mon avis sur ces amendements était défavorable. Il s'agit d'une proposition de loi, non d'un projet, et je considère qu'au fond, les études d'impact existent déjà. On les a beaucoup citées, et même de façon abusive en ce qui concerne celle du CREDOC qui repose sur l'hypothèse d'une libéralisation complète de l'ouverture du dimanche. Ces amendements ont surtout une intention dilatoire, et, malgré mon amitié pour M. Dionis du Séjour, je ne peux y être favorable.