Monsieur le ministre, je voudrais dissiper un malentendu. Effectivement, vous n'avez pas parlé, à propos de Nantes, de « chape de plomb », mais de « couvre-feu ». Vous avez dit : « Libre à vous d'instaurer le couvre-feu sur Nantes. » Compte tenu des précisions que je vous ai données à propos de la décision librement prise par les vingt-quatre maires de la communauté urbaine de Nantes, de toutes tendances politiques, je vous demande de bien vouloir retirer ce terme. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)