Certes, monsieur le député, l'Assemblée nationale a évidemment son mot à dire, je ne le conteste nullement. Mais il est inexact de déclarer que jamais les grandes fédérations syndicales ne se sont exprimées sur ce texte. De plus, je le répète, le rapporteur les a reçues et s'est entretenu avec elles.
On a aussi évoqué ce qu'a dit Xavier Bertrand. Je le remercie d'ailleurs, ainsi que le président de groupe Jean-François Copé, pour leur soutien. Xavier Bertrand a déclaré que ce texte était attendu et nécessaire, et qu'il contribuait à la réhabilitation de la valeur-travail.