À votre tour, monsieur Eckert, vous nous faites partager vos préoccupations concernant la rémunération de certains dirigeants. Je suis persuadé que vous ne faites pas l'amalgame entre quelques rares dirigeants et l'immense majorité des patrons des 2 700 000 entreprises de notre pays (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP), qui se battent pour l'économie et pour préserver l'emploi.