Sachez que je ne mesure pas la justice à un pourcentage, j'estime seulement que travailler un jour sur deux pour l'État est un équilibre acceptable : le taux de 50 % incarne cette idée d'équilibre. Le taux de pression fiscale est un paramètre très important : chaque pays se pose ce type de question, même si cela ne provoque pas les mêmes débats que dans le nôtre. En cas de surpression, il y a un risque d'explosion, préjudiciable à l'économie nationale.
Vous concluez votre propos en évoquant la dureté des temps. Nous en avons amplement pris la mesure : il suffit pour cela de discuter avec nos compatriotes. Le premier à avoir mis l'accent sur cette crise, dès le mois de décembre, à Douai, et à avoir clairement dit aux Français ce qu'était la crise économique, c'est bien le Président de la République.