Permettez-moi donc une nouvelle fois, monsieur le président, de vous dire à quel point vous avez honoré l'institution parlementaire. (Vifs applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Ce texte ne peut en aucun cas être présenté comme une régression des pouvoirs du Parlement. Il s'inscrit dans la logique qui fut celle du Président Sarkozy, dès sa campagne présidentielle, et il nous permet de rééquilibrer les pouvoirs, en compensant l'excès de poids que le quinquennat a donné à l'exécutif.
Ce texte aurait sans doute pu aller plus loin. Votre attitude nous en a empêché. (Protestations sur les bancs du groupe GDR.)