N'accordons pas trop d'importance aux épiphénomènes qui ont troublé les débats ; l'essentiel était d'arriver au vote. Quoi qu'il en soit, il me semble que les parlementaires se doivent de présenter des excuses au président de l'Assemblée nationale, à l'égard duquel vous avez eu pour le moins une attitude inconvenante ! (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.) Les moments que nous avons vécus n'honorent pas l'Assemblée, mais notre président a su rester dans son rôle. (Mêmes mouvements.)
J'emprunte aux Romains, familiers des débats parlementaires agités, un vieil adage : De minimis non curat praetor.