Vous avez préféré la confusion, nous avons préféré l'action.
Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que vous pratiquez de cette manière. La première motion de censure, que vous avez déposée en avril dernier, avait été justifiée par votre opposition à la politique économique du Gouvernement. Nous avons eu droit finalement à un discours s'opposant à notre engagement en Afghanistan.
Avec cette nouvelle motion de censure, vous développez deux grandes idées : le Président de la République et le Gouvernement n'auraient pas pris les bonnes initiatives pour la France, et les libertés seraient mises à mal.
Première remarque, vous avez attendu cinq mois pour proposer ce que vous appelez un plan de relance, cinq mois pendant lesquels, aux côtés du Président de la République, du Premier ministre et du Gouvernement, nous avons avec l'UMP fait le choix de l'action. Nous avons soutenu les initiatives prises par le Président de la République pour sauver le système bancaire français et international.
Alors que la gauche parlait de « cadeaux »,…