Je parle d'indécence, et c'est mon droit, même si vous avez un avis différent, mon cher collègue.
J'ai ici une lettre – ma collègue y a fait allusion tout à l'heure – du président du Comité national olympique et sportif français, qui indique que, si nous adoptions cette disposition, « elle serait de nature à remettre en cause l'unité et l'organisation du sport, telles qu'elles découlent du code du sport ». Je tiens ce courrier à votre disposition, monsieur le secrétaire d'État, mais j'imagine que vous en avez eu connaissance, tout comme M. Lefebvre.
Pourquoi ai-je parlé d'indécence ? Parce que, en matière de sport, les premiers investisseurs ne sont ni les minots ni les financiers dont vous parlez, mais ces bénévoles qui,…