Si notre collègue retire l'amendement, nous ne prolongerons pas le débat. S'il le maintenait, je vous demanderais de bien vouloir nous redonner la parole, pour démontrer que sa proposition est imprudente, même si nous ne lui reprochons pas de vouloir faciliter le travail au noir.
La lettre me semble avoir un intérêt : elle permet à un employeur de se demander, de temps en temps, s'il n'a pas de salarié mal employé.