Je suis désolé que le président Ayrault ait perçu de l'angoisse dans mes propos, car c'était de la fierté : la fierté de défendre un tel règlement et de faire évoluer les pouvoirs de contrôle.
J'ai dit que rien n'avait été fait à cet égard depuis le début de la Cinquième République. Monsieur Ayrault, je ne veux pas être discourtois, mais votre formation politique a été majoritaire un certain nombre d'années.