Je suis favorable à l'idée d'un droit de suite.
Je comprends la proposition du président Ayrault, mais elle me semble dangereuse pour les groupes minoritaires. Le groupe de la Gauche démocrate et républicaine dispose de deux fois deux minutes seulement ; regrouper ses interventions n'aurait pas beaucoup de sens. Pour que cette proposition soit valable, il conviendrait de modifier les règles du jeu et de permettre, en particulier aux groupes minoritaires de la majorité ou de l'opposition, d'intervenir davantage.