On peut s'étonner que dans l'Union européenne, qui a fait de la société de l'information et de la connaissance l'objectif que nous savons, il ne soit pas possible de faire avancer plus résolument et plus rapidement une disposition qui ne vise qu'à la neutralité technologique.
Quel que soit le support qu'elle utilise, la presse doit pouvoir bénéficier d'un taux unique, ce qui lui procurerait un ballon d'oxygène quand elle diversifie ses contenus grâce à Internet. J'espère, monsieur le ministre, que la présidence française permettra d'avancer dans ce domaine, ce qui serait conforme à l'engagement européen de mettre en oeuvre une société de l'information.
Néanmoins, je retire cet amendement, puisqu'il a fort peu de chances d'aboutir.