Monsieur Aeschliman, je vous remercie de votre soutien et je vous rejoins totalement lorsque vous dites que laisser prospérer la récidive, c'est accepter la banalisation et nourrir un sentiment d'impunité inacceptable.
Monsieur Dray, comment pouvez-vous parler de « spectacle » alors que notre action est essentielle pour notre pays ? Vous qui connaissez si bien ces problèmes, je m'étonne que vous ne souscriviez pas à nos objectifs : lutter contre la délinquance et, surtout, nous donner les moyens législatifs de sanctionner la récidive.