Je n'insisterai pas sur cet état de fait, puisqu'il a déjà été souligné.
L'ancien ministre de l'intérieur souhaite un durcissement des peines, après cinq années qui se soldent, en somme, par un échec. Si l'insécurité avait reculé, si la sécurité ne restait pas, à juste titre, une préoccupation des Français et si les atteintes aux personnes n'avaient pas augmenté alors que la majorité actuelle était déjà au pouvoir, personne ne jugerait utile de débattre aujourd'hui de ce sujet.