Cet amendement défend un principe dont M. Sarkozy aurait dû s'inspirer au lieu de s'employer à faire passer en force le traité de Lisbonne : on aurait évité ainsi bien des déconvenues. Nos amis Irlandais ont en effet compris – et une partie d'entre nous s'en réjouit – que ce texte n'était qu'une pâle copie du traité constitutionnel proposé en 2005.