Pour les mêmes raisons que la commission, le Gouvernement n'est pas favorable à ces deux amendements.
Dans les deux tiers des cas, il existe, sinon une autorisation, du moins une approbation tacite ; allonger le délai de réponse reviendrait à allonger systématiquement les procédures de recouvrement de l'impôt, ce qui aurait un coût d'environ 400 millions d'euros. Les amendements présentés ne visent pas en effet les seuls contrôles, mais toutes les procédures fiscales. Un amendement ultérieur devrait donner satisfaction à tout le monde.