Cet amendement vise à appliquer le taux de 2,1 % à la commercialisation des fruits et légumes. En effet, les ménages les plus modestes dont le pouvoir d'achat ne progresse pas ont du mal à accéder à ces produits alimentaires de première nécessité dont la consommation est bonne pour la santé. Une telle mesure serait donc doublement bénéfique : pour le pouvoir d'achat et pour la santé publique. Nous avons d'ailleurs de la continuité dans nos propositions puisque nous avions déjà proposé cet amendement à l'occasion de l'examen d'un texte précédent.