Le rejet de cet amendement signifierait que l'État décide aujourd'hui, tout simplement, de se déposséder d'un potentiel fiscal et d'en dépouiller, par omission, la Guyane – qui pourrait pourtant disposer ainsi d'une recette fiscale en complément des dotations budgétaires.
La création d'une recette fiscale à partir d'une ressource naturelle serait un acte de responsabilité économique !