Nous avons eu, sur ce point, un débat en commission auquel Mme la secrétaire d'État a d'ailleurs participé. Nous avons émis un avis défavorable sur cet amendement, considérant que le choix des matériaux ne relevait pas de notre responsabilité, mais surtout que le développement des moisissures était souvent lié au comportement des usagers. Autrement dit, ce n'est pas une question de loi mais de mode d'utilisation des locaux : les moisissures se développeront plus facilement dans un local laissé humide.