Je veux également vous rassurer, monsieur le député. Considérant qu'il n'existe actuellement aucun critère, aucune méthode universellement reconnus pour définir les perturbateurs endocriniens, nous avons lancé un premier programme de recherche d'un million d'euros en 2005, dont les résultats devraient être disponibles fin 2009. Un deuxième appel à projet, relatif à un programme de deux millions d'euros, va être lancé avant la fin de l'année ; il aura pour objectif de mieux définir les perturbateurs endocriniens et les caractériser, en tenant compte des mélanges de substances, notamment à faibles doses.