Mais il a également déclaré qu'il trouvait inadmissible, intolérable, qu'on puisse toucher des émoluments au moment de quitter une entreprise, surtout si celle-ci est en train de préparer un plan de licenciements ou qu'on a échoué .
Or, aujourd'hui, que demande-t-on ? Que le conseil d'administration évalue le dirigeant et la situation de l'entreprise. Cette décision du conseil d'administration est validée par l'assemblée générale où siègent tous les actionnaires, y compris les petits actionnaires, monsieur Brard, et les salariés, qui peuvent être actionnaires de l'entreprise. Donc notre proposition est très morale.