Un tel montant reste exorbitant, surtout quand il se paie dans ces mêmes entreprises et parallèlement de la multiplication des plans sociaux, qui, eux, sont d'abord un coût pour la société tout entière.
Sous le bénéfice de ces utiles observations – j'espère en tout cas, madame la ministre, que vous les reconnaîtrez comme telles –, nous vous proposons de revenir à plus de mesure et d'équilibre, pour empêcher les excès. Je ne doute pas que cela permettra en outre à nombre de dirigeants d'entreprises françaises de garder davantage les pieds sur terre plutôt que de continuer à évoluer dans une bulle de chiffres, loin des réalités économiques.