Monsieur Brottes, je n'ai jamais dit que M. Copé me faisait rêver. Ne faisons pas de contresens : ce qui me fait rêver, c'est l'instauration d'une cotisation minimale. (Rires.) Et je souhaite que nous puissions maintenant passer du rêve à la réalité.
Je remercie Jean-François Copé de sa contribution au débat, tout en m'interrogeant sur l'utilité qu'elle présente au regard du fond et au vu de l'horloge, que surveille avec crainte le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement. Monsieur Copé, vous semblez intéressé par mes propos : je vous invite donc à ne pas les sortir de leur contexte. S'agissant de l'ISF, je suis prêt à en débattre avec vous et à saisir la commission des finances, mais nous n'avons pas un vrai débat sur ce sujet puisque vous ne le voulez pas.