En matière de permanence des soins, il existe bien une médecine des villes et une médecine des champs. Beaucoup s'accordent à dire que la permanence des soins est fragile, coûteuse, peu fiable, l'article 27 n'ayant pas, loin de là, réglé les problèmes.
La médecine de premier recours souffre d'une grande désaffection de la part des professionnels de santé en raison de son caractère anxiogène, mais aussi du fait d'une démographie médicale qui s'est féminisée,…