J'ai presque terminé, monsieur le président : vous avez été bien bon avec moi. (Sourires.)
Il y a une immense différence – mon ami de la côte basque Daniel Poulou ne me contredira pas – entre l'hôtesse d'accueil de Biarritz qui, souvent bronzée et en minijupe, attire presque les touristes à elle seule, et la modeste employée au RSA dans tel ou tel village, accompagnée de sa grand-mère en vélo solex, et qui a revêtu un capuchon pour se protéger de la pluie. (Rires.) Il serait souhaitable, en un mot, que l'accueil soit le même partout, car nous avons tous le même amour du pays ; or le tourisme est avant tout un acte d'amour. (Applaudissements sur divers bancs.)