J'y arrive, monsieur le président, mais convenez que cet article est fondamental, ce qui justifie d'autant mon amendement de suppression.
La possibilité, pour le Président de la République, de nommer, de révoquer et de provoquer, pour ridiculiser tous les pouvoirs destinés à contrebalancer le sien, est contraire au respect minimum que méritent nos institutions. C'est pourquoi je demande à nos collègues de supprimer l'article 9.