Je reste méfiant, même si je suis prêt à vous entendre sur un certain nombre de points, monsieur le secrétaire d'État. Reste que quand on sait quelles motivations ont présidé à l'élaboration de ce texte et quand on sait qui a tenu la plume pour le rédiger – et qui, d'ailleurs, la tient toujours –, je ne puis accepter qu'il recèle des dispositions contradictoires. En effet, dans ce cas, ce sont les salariés qui sont sans doute les victimes désignées et il n'est pas dans ma nature ni dans celle des autres députés du groupe communiste de l'accepter.