Nous pensons avoir trouvé un bon équilibre : le conseil de surveillance donne une plus grande place aux collectivités locales, dont plusieurs élus de l'opposition et de la majorité ont souligné l'importance dans la vie des ports ; les salariés auront des représentants dans le conseil de surveillance ainsi que dans le conseil de développement. Nous avons un directoire qui dirige, un conseil de surveillance, où siègent les patrons du territoire, qui surveille, un conseil de développement où sont représentées les organisations environnementales qui, jusqu'à présent, n'étaient présentes à aucun niveau de la gouvernance des ports.