Je veux d'abord vous remercier de ce double hommage à la latinité. Merci d'avoir rappelé le dicton « Qui va lentement va sûrement » – que les Méditerranéens parmi nous ne sont pas les seuls à avoir compris – et aussi d'avoir cité par deux fois le grand poète de l'Isle-sur-la-Sorgue, René Char, que je vous sais gré d'aimer comme Mme la ministre et moi-même l'aimons.