La raison en est simple : j'écoute les salariés de ma ville, et la situation ne l'exige pas.
Je suis autant attaché que vous, chers collègues de l'opposition, au repos dominical ; mais j'estime n'avoir pas le droit d'occulter certaines réalités : dans plusieurs zones, comme à Marseille, les salariés tiennent à travailler le dimanche – des référendums locaux l'ont d'ailleurs montré.