Monsieur le président Ollier, vous venez de dire qu'il fallait respecter le suffrage universel. Voilà un réveil tardif ! Que n'en convainquez-vous le Président de la République ? Je pense, par exemple, aux résultats du référendum de 2005. Vous vous êtes assis dessus ! Vous avez piétiné la volonté populaire, et vous avez le culot de dire aujourd'hui qu'il faut respecter le suffrage universel ! (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)