Qui pourrait contester que, dans un pays où l'heure du déjeuner dominical a progressivement glissé de midi à treize heures, il est sans doute logique qu'on autorise les commerces alimentaires à suivre cette évolution en employant leurs salariés, non plus jusqu'à midi, mais jusqu'à treize heures ?
En réalité, personne ici, j'en suis convaincu, ne conteste la réalité de ces évolutions ni la nécessité d'y répondre,…