Merci, monsieur le président. Et je remercie le président Rochebloine de me permettre de continuer à m'exprimer…
Tout le monde est donc d'accord sur le constat, mais des désaccords subsistent sur l'analyse politique du manque de moyens. Quant à moi, je crois qu'il ne suffit pas de constater les dégâts : il faut les réparer, et, pour cela, faire des choix budgétaires. Nous avons ouvert des pistes pour obtenir de nouveaux crédits ; le secrétaire d'État en a retenu, au passage, quelques-unes ; espérons que nos efforts porteront leurs fruits l'an prochain.