J'en ai presque terminé, monsieur le président.
Nous pouvons légitimement nous inquiéter : lorsque davantage de ligues professionnelles seront concernées par cette mesure – ce qui se produira sans doute dès l'année prochaine – et que, en conséquence, le nombre de bénéficiaires augmentera, ce dispositif risque de consommer la totalité des crédits affectés au programme « Sport », les autres missions étant transférées sur les seuls crédits du centre national de développement du sport, avec tous les dangers que cela comporte pour l'avenir. Il y a donc lieu, mes chers collègues, d'adopter l'amendement n° 148 rectifié de manière unanime.