Je voudrais simplement appeler votre attention sur le fait que nous avons dit beaucoup de choses. Nous allons continuer à le faire. Mais je voudrais quand même exprimer mon inquiétude, parce que nous sommes de plus en plus loin du fond du texte, de plus en plus dans la polémique et l'invective. Je le regrette d'autant plus que nous avons ce texte à terminer avant de pouvoir examiner ici d'autres réformes pour les Français. Je voudrais que chacun, à ce moment du débat, ait cela quelque part dans un coin de sa tête. Il est grand temps d'avancer car nous sommes ici, je le rappelle, pour les Français.