D'autres présidents par la suite ont pris, c'est vrai, des décisions plus malheureuses, notamment dans le Pacifique.
Lorsqu'il s'est agi de gérer la crise du Kosovo, c'est bien le président Jacques Chirac qui a décidé l'engagement des forces.
Notre réalité institutionnelle fait qu'aujourd'hui c'est le Président de la République qui est le chef des armées. Nous mettons cela en conformité avec le dispositif constitutionnel.
Pour toutes ces raisons, le groupe UMP votera contre la question préalable. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)
(La question préalable, mise aux voix, n'est pas adoptée.)