On voit des choses scandaleuses se passer. Ainsi, les dividendes de Renault tels qu'ils ont été définis par M. Ghosn dans son obsession idéologique destructrice pour l'entreprise constituent un vrai problème, entrant pour partie dans le déclenchement de la crise actuelle. Mais vous refusez d'intervenir sur cette question !
Votre seul argument quand vous voulez refuser une mesure est de la qualifier d'usine à gaz. C'est sous-estimer la compétence de vos services à Bercy, toujours capables de trouver des solutions. Quand vous leur assignez des objectifs nouveaux et difficiles à atteindre, ils sont pleins de zèle et jamais à court d'idées ! J'en veux pour preuve l'auto-liquidation de l'ISF pour les bénéficiaires du bouclier fiscal : pour lutter contre la fraude, on aurait pu trouver mieux ! Ce n'était pas une usine à gaz que vous avez installée, mais une dérivation directe pour permettre aux privilégiés de se soustraire à l'impôt !