Monsieur le secrétaire d'État, pour revenir à cette affaire de la franchise, il ne s'agit pas de savoir si l'État va continuer ou non à subventionner les clubs professionnels. Cela renvoie à d'autres questions beaucoup plus importantes. Le sport professionnel doit-il continuer à s'inscrire dans des structures fédérales, où il est solidairement lié au sport pour tous, ou doit-il en sortir ? Par ailleurs, le mouvement sportif, soumis à des devoirs et au respect de l'éthique du sport, doit-il garder la maîtrise de l'organisation des compétitions et des règles ou doit-on laisser le privé prendre le pas sur lui ?