Tout est d'ailleurs fait pour que ces centres commerciaux fonctionnent comme des lieux de villégiature imbriquant commerces et lieux de loisirs dans un décor ludique.
Que se passe-t-il donc dans la tête de ces « promeneurs » face à la débauche de produits qui se présentent à leurs yeux, et qu'ils ne peuvent acheter parce qu'ils n'en ont pas les moyens et qu'ils ont eu le courage de ne pas céder aux sirènes du crédit ? Il faudrait pouvoir évaluer la frustration de ceux qui ne peuvent pas ou plus acheter.