Je m'accorde avec le rapporteur général pour rendre hommage au travail de Thierry Carcenac. L'idée n'est pas de déstabiliser la Monnaie mais de faire en sorte qu'un jour ou l'autre la parole de l'État soit respectée. Nous parlons de 10 % de la superficie de cet immense terrain de la Monnaie de Paris.
Dans une lettre en date du 25 juin 2004, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'économie, indiquait au chancelier de l'Institut que le transfert aurait lieu à la fin de la décennie, donc en 2010. En 2006, Jean-François Copé l'a confirmé.