Par ailleurs, cet amendement est rédigé de telle façon qu'il semble permettre aux banques de déduire non pas les intérêts, mais la globalité de l'avance consentie.
De grâce, n'adoptons pas un tel amendement ! À la rigueur, monsieur Martin-Lalande, je vous suggère de le représenter après avoir revu sa rédaction lors d'un prochain collectif – celui de janvier, par exemple. En l'état actuel, il me paraît totalement incompatible avec la position que nous avons décidé d'adopter vis-à-vis des niches fiscales et le travail que nous avons accompli en ce sens.