Nous prenons en considération ce qui figure dans le projet de loi de finances rectificative tel que nous l'a présenté le Gouvernement, mais également tous les amendements que nous avons votés la semaine dernière, notamment l'instauration de la taxe sur les poissons, mollusques et crustacés et de celle relative à l'« écopastille ».
Certes, nous ne pouvons pas tenir compte des modifications qui peuvent être adoptées en ce moment même au Sénat, mais, s'agissant d'adopter l'amendement n° 5 deuxième rectification, nous ne pouvons pas procéder autrement, à moins d'enclencher un processus itératif de navettes incessantes. Prenons en compte tout ce dont nous disposons, mais il faut bien arrêter le compteur à un moment donné.