Je veux rassurer mon brillant collègue de la présidence de la commission des finances : je ne l'ai pas accusé d'avoir « sacqué » les villes de la Basse-Terre, je me suis contenté de rapporter des propos couramment répandus, en tout cas dans le microcosme politique local. Je le remercie, ce faisant, des précisions qu'il m'a apportées. Je suis satisfait que mon appel ait en quelque sorte été entendu, aussi bien par lui-même que par le Gouvernement et que cette « injustice » vis-à-vis de quelques communes de la Basse-Terre et, plus largement, les problématiques des îles du sud soient prises en compte indépendamment des fourches caudines de l'article 40.