Le texte dénature aussi la politique du logement et remet gravement en cause la mixité sociale.
Il existe deux façons d'aborder le manque de logements sociaux : la première – la bonne – consiste à dégager les moyens financiers suffisants pour construire massivement les logements nécessaires ; la seconde – la mauvaise – est de réduire de façon mathématique et autoritaire le nombre de familles pouvant y accéder et de renvoyer les classes moyennes se débrouiller avec les logements privés.